tout au bout du monde : colombes
Tout au bout du monde, il y a de l’or, des vahinés, des mers bleues et des poissons lune.
Tout au bout du monde, il y a le soleil pour nous réchauffer
Tout au bout du monde, il y a le monde, un autre monde,
Loin de colombes
Tout au bout du monde, il y a mille choses, des sourires, des pleurs.
Tout au bout du monde, il y a des fleurs, des épices, des odeurs.
Tout au bout du monde : A Colombes, ne sommes nous pas déjà tout au bout du monde, notre monde à nous.
Sous le soleil parfois, sous la neige quelquefois
Les glycines nous enivrent de leur parfum au printemps.
Les roses nous parfument dès que l’été revient.
Les enfants courent dans les rues,
Nous, nous courons vers notre atelier préféré,
Nous courons pour écrire nos joies, nos peines,
Nous courons pour raconter nos petits bonheurs,
Et même nos grands fous rires, et nos mondes imaginaires,
Nos rêves et nos désirs,
Nos regrets et nos passions.
Depuis peu nous partageons ces moments sur notre blog, une grande nouveauté, une belle découverte, une communion nouvelle entre nous.
Une plume magique nous a happé dans sa modernité.
Moi, je vais à la philo. Je découvre des univers insoupçonnés, si simples, des mots que je peux rapprocher de ma vie. Des noms me reviennent. Platon, Socrate et beaucoup d’autres copains. Je peux être surprise mais à chaque séance quelle découverte ! Petit pas par petit pas, j’avance dans cette sagesse. Depuis peu j’ai découvert Mlle philo. Je n’en dis pas plus c’est un secret d’enfant.
Je me sens grandir, à l’âge d’être grand mère.
A Colombes, je vais aussi à la gym, pour délasser, dénouer, dérouiller mon corps endolori.
Il y a tant de choses, je ne connais pas tout, mais je sais qu’elles existent un jour peut-être, j’essaierai autre chose. Je participerai à une nouvelle activité.
C’est l’hiver à Colombes, mais c’est aussi tout au bout du monde, pour l’autre bout du monde.
C’est au bout de ma rue. Pas d’avion, de bateau, juste mes pas pour me guider et me porter vers mes activités.