Où es-tu Cupidon ? as-tu perdu tes dons ? es-tu parti vers d'autres horizons ? en dépit de mon pardon trouver une autre maison et des petits seins plus ronds à en perdre la raison laissant mon cœur à l’abandon. Il n’y aura pas de nouvelle saison pour...
Lire la suitepo & zie
mais peut-être... Maiakovski
Mais peut être Ne reste-t-il Au temps caméléon Plus de couleurs ? Encore un sursaut Et il retombera, Sans souffle et rigide. Peut – être, Enivrée de fumées et de combats, La terre ne relèvera-t-elle jamais la tête ? Peut être, Un jour ou l’autre, Le marais...
Lire la suitebien sûr que je t'aime
Bien sûr que je t'aime comment peux-tu en douter ? mes coups de gueule juste un cri est-ce que tu crois que je m'énerverais pour quelque chose qui m'indiffère ? je passerais à autre chose je passerais à quelqu'un d'autre mais toi, c'est différent tu es...
Lire la suiteAu fond de la grotte
Au fond de la grotte, j'ai posé mon baluchon imaginaire Blottie sur la paroi humide, je fixe ce point minuscule diffusant un rais de lumière sur mon lit fait des feuilles de livres aimés. Un filet d'eau opalescente pour me désaltérer, des racines emmêlées...
Lire la suitel'homme vole
3ème participation avec les amis de Phil, les amies de Phil pour : "quand les poétesses parlent des hommes" ===== Elle et lui : Ils s'aiment, ils ne font qu'un, il est son île, elle est son aile. ===== L'homme vole entre deux nuages dans un ciel laiteux...
Lire la suitecauchemar
Petit matin, L'aube point Derniers instants d'abandon Dans le grand lit Tout devrait aller bien Soudain, il arrive Incontrôlable et envahit mon esprit Cauchemar Bizarre Impossible à relier à un événement J'ai bien une idée Tous les deux vivants, moi ;...
Lire la suiteje me suis levée pour écrire
Après une nuit presque réparatrice Je me suis levée pour écrire. Mais en ouvrant les volets, je t'ai vu toi le soleil qui m'appelait et me faisait un clin d'oeil gros comme un univers parallèle toi qui étais absent depuis si longtemps. Alors tu sais quoi,...
Lire la suitele reflet de mon âme
C’est ainsi que je me sens emportée dans une tempête et comme un tronc d’arbre ballotté incertain incertaine Le cœur au bord des larmes la tête en vrac horizon bouché aujourd’hui est une impasse hier semble penser que c’était plus beau illusion d’optique....
Lire la suitele vent m' appporte les bruits
Le vent m'apporte les bruits et emporte mon silence j’étais si bien dans ma bulle subitement, l’impression que ma tête va éclater tout le monde est donc dehors ! ce monde a-t-il recommencé à vivre malgré la quatrième vague ? suite de la pandémie on dirait...
Lire la suitela tête dans la main
Dimanche matin, ou un autre jour, en juin ou un autre mois, la pendule égrène les heures et les minutes le soleil ne s’est pas levé elle l’avait attendu alors elle a posé un pied par terre vérifiant, en mettant son pied dans sa pantoufle qui n’était pas...
Lire la suitel'homme glycine en 2 actes
Poésie parue dans le n° 51 de la revue PLEIN SENS de LA RUCHE DES ARTS dont le thème est " paysages " ===== l'homme glycine (acte 1) Nonchalamment assis sur le muret de briques rouges érodées par le temps, il est là pensif. Pour moi, il est un paysage...
Lire la suitesi seulement je pouvais pleurer
Si seulement je pouvais pleurer si seulement je pouvais t'expliquer si seulement tu pouvais m'entendre si seulement tu pouvais comprendre si seulement je pouvais t'accrocher d'un mot, d'un regard mais tu fuis tu me fuis tu te fuis tu fais semblant et...
Lire la suiterose
Rose comme la fleur aux délicats pétales rose Pierre de Ronsard rose des cerisiers au Japon rose symbole de tendresse symbole de grâce expression de douceur rose message d'affection message de joie et de bonheur rose comme le petit matin comme un verre...
Lire la suitele futur
Mauvaise nouvelle ! je me suis retournée, il était derrière moi ! on m’avait dit : "Tu verras le futur, c’est une merveille !" De quoi je me mêle ? Le futur c'est l'inconnu, moi, je le trouve très imparfait encore plus que le présent voire l'impératif,...
Lire la suitel'heure juste pour sortir
18:00 h l’heure juste pour sortir profiter du soleil couchant et des parfums des baies rescapées il y a peu de la neige et du gel musarder dans les rues désertes le nez au vent observer les nuages qui filent et s’effilochent lentement libre, sensation...
Lire la suitecelui-ci est gris
Un grand jardin, dans la continuité un bois, un homme promène son chien un grand chien noir au poil soyeux il s’approche se laisse caresser puis il repart. "il va falloir clôturer le terrain se dit-elle" le soleil brille et la réchauffe ils ont quitté...
Lire la suiteen toute liberté
Je n'en peux plus de ce temps je n'en peux plus du couvre-feu qui a éteint tous nos feux je n'en peux plus de cette vie je suis une momie je n'en peux plus de ce masque il ne manque plus que le casque je n'en peux plus du silence je n'en peux plus du...
Lire la suiteun nouveau futur
07:57 C’est écrit la pluie tambourine sur le carreau elle ne nous lâche pas cela me fâche la maisonnée dort encore la nuit dehors et un peu dans mon coeur disparus mes repères couvre-feu désespérant j’erre dans ce vide sidéral où le moindre éternuement...
Lire la suite"fermé sine die pour cause de covid"
Les yeux fermés pour échapper à la réalité qui dure et qui perdure oublier, tout oublier de la ville à l'arrêt, je me rêve "sans masque" et ma vie reprend un sens : "Le nez au vent les joues rougies par une petite brise les oreilles à l'écoute du silence...
Lire la suiteoù sont mes mots
Où sont mes mots enfouis sous mes maux mot à mot évanouis depuis ces jours surgi du diable vauvert ou plutôt de l'Asie cette putain de pandémie Ce qui était espoir est désespoir ce qui était joie est tristesse ce qui était projet aux oubliettes ce qui...
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